Couverture des Fiancés de l'hiver par Christelle Dabos

Pourquoi j’ai aimé « Les Fiancés de l’hiver » de Christelle Dabos

Ophélie, jeune femme dotée du pouvoir de lire dans les objets et de traverser les miroirs, est contrainte de quitter son Anima natale pour s’en aller épouser un inconnu au Pôle. Elle ne se doute pas qu’elle devra puiser dans ses ressources les plus insoupçonnées pour y affronter des dangers pires encore que le blizzard, le froid et les bêtes féroces… Ce roman a été couronné du Prix des lycéens, et j’ai craqué moi aussi!

couverture de Shining par Stephen King

Shining, de Stephen King

L’hiver approche à grands pas, et avec lui les longues soirées de lecture au coin du feu! Mon conseil: lisez Shining, de Stephen King. Un enfant qui lit dans les pensées, des montagnes glacées, un hôtel hanté, des fantômes malveillants et une lente plongée dans la folie: vous n’en apprécierez que plus le confort, la chaleur et la tranquillité de votre petit chez-vous…

Couverture de L'invention de nos vies par Karine Tuil

L’Invention de nos vies, Karine Tuil

Jusqu’où peut-on mentir sur son identité sans finir par se perdre soi-même? Dans quelles circonstances le mensonge est-il justifié? Comment vivre avec le patrimoine culturel, religieux, financier ou génétique que les générations précédentes nous ont laissé? Pouvons-nous nous couper totalement de nos racines? Autant de questions que pose ce roman brûlant.

Couverture de Le Cercle par Dave Eggers

Le Cercle, Dave Eggers

Et si l’utilisation des réseaux sociaux n’était plus un choix, mais une obligation? Et si la connexion permanente devenait la condition sine qua non de l’intégration sociale? Et si protéger son temps et son intimité était désormais considéré comme une déviance? Si vous voulez un aperçu de ce monde, lisez Le Cercle…

Couverture de La Petite Communiste qui ne souriait jamais par Lola Lafon

La Petite Communiste qui ne souriait jamais, Lola Lafon

A 14 ans, la roumaine Nadia Comaneci réussit l’incroyable: décrocher plusieurs fois la note de 10 en gymnastique aux Jeux olympiques de Montréal. Sans un sourire. Lola Lafon s’inspire de cette figure légendaire pour proposer une réflexion passionnante sur la Roumanie communiste, les enjeux politiques du sport, et la pression toute particulière imposée aux athlètes féminines.